Il y a une personne qui n'aime pas mon blog mais qui, loin de le zapper et de se consacrer à des activités plus intéressantes, s'obstine à lire un Dieu mysogine et bouffi d'orgueil, dépourvu d'élégance. Alors, comme cette personne anonyme a dû passer un peu de temps à écrire son commentaire au sujet de mon texte intitulé "Vacances", je vous le livre tel quel, bien visible... Bon, le second degré n'est pas le fort de cette personne... Je crois que je n'ai rien oublié, j'ai commencé une phrase par "bon", abusé des points de suspension et écrit comme un pied... Je n'ai pas réussi à être geignard car ce commentaire ne m'a pas vraiment atteint...
Sinon, pour cette personne, sur ce blog, on parle aussi d'orientation, de cours, de FSE, de sorties pédagogiques, etc. Notez que je ne mets pas de points de suspension après "etc"... On y trouve aussi mes cahiers de textes. En plusieurs années d'existence de ce blog, je n'ai eu que des retours positifs, ouf, mon orgueil est sauf ! Et, l'appellation de "Dieu", elle vient spontanément de deux élèves dont l'un était plutôt difficile, ce qui m'avait fait sourire, ainsi que ses camarades. Depuis, c'est resté. J'indique aussi que cet article geignard qui a suscité ce commentaire gentillet est un clin d'œil pour mes élèves qui se sont inquiétés de moi pendant mon absence.
Et, vous qui êtes enseignant (j'ai un doute mais je pense que vous n'aimez pas les 4x4) et qui écrivez plutôt bien comme-mais-oui-au-fait-qui ? n'hésitez pas, à la hussarde, à me balancer à ma hiérarchie. Du reste, le Dasen m'a indiqué lui-même lire mon blog régulièrement. Peut-être un courrier dénonciateur à mon IPR qui vient de me nommer tuteur d'une collègue, probablement pour récompenser ma suffisance...
Bonne soirée et bonne lecture ;-) À défaut de me trouver drôle, je ne doute pas que votre laïus, lui, même anonyme, amusera beaucoup les habitués de ce blog...
Pourquoi ne pas parler de votre dernière gastro tant que vous y êtes ? On savait déjà, à la lecture de ce blog et de vos « nouvelles » consternantes et autres textes geignards, que vous étiez bouffi d’orgueil, mais là, on reste sans voix. Votre autoproclamation en Dieu, que vous infligiez déjà à vos élèves, on la trouve maintenant ici. À défaut d’un prix littéraire, on peut vous décerner le prix du plus gros melon pour l’ensemble de votre œuvre. (Mais le jury qui décerne ce prix, dont la représentativité est probablement irréfutable, est anonyme, snif. Me voilà donc privé de toute possibilité de recevoir ce prix ! NdA)
Vous êtes professeur de français : vous apprenez à vos élèves à se relire. Pourquoi ne le faites-vous pas ? On ne peut pas croire votre assommante prose résisterait à la moindre relecture, fût-elle celle d’un admirateur de Marc Lévy. (Relisez-vous, votre phrase est incomplète. Je ne suis pas admirateur de cet auteur, j'ai juste notamment trouvé particulièrement agréable la lecture des Enfants de la liberté. NdA)
L’avalanche de premières personnes du ridicule qui pousse à la nausée, passons. Cette grossière tendance à commencer un paragraphe par « Bon », passons, on sait que l’élégance n’a jamais été votre qualité première. L’orgie sidérante de points de suspension, passons. Même votre misogynie lourdingue qui n’étonne plus personne mais qui reste affligeante, passons encore. Mais la comparaison que vous faites entre votre expérience personnelle, qui aurait dû le rester si vous aviez gardé encore une once de retenue, et celle d’un prisonnier à Clairvaux, c’est tout simplement honteux (Tout à fait d'accord, c'est bien pour cela que je ne compare pas mais que j'établis un simple parallèle entre les bâtiments, apprenez à lire, vous qui êtes littéraire. NdA). Et là du coup, on n’a plus envie de rire, mais alors plus du tout.
Et bien, sans rire, cassez-vous ! J'essaie d'être aussi constructif que vous ;-)
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