Il y a un thème dont nous parlons régulièrement en français : c'est la place des enfants dans le monde, dans la société.
C'est d'autant plus évident d'en parler en français que le premier a avoir évoqué cette question progressiste des droits de l'enfant est Victor Hugo. Il l'a dit dans l'un de ses discours politiques et, bien sûr, dans plus d'une oeuvre, il montre des enfants que l'éducation va sauver : ainsi, dans Les Misérables, Gavroche mourra mais Cosette, à qui Jean Valjean apprendra à lire et à écrire, survivra. A relire ici, "Melancholia", le magnifique poème de Victor Hugo qui fustige le travail des enfants... en France !
Il a quelques semaines, nous avons célébré - discrètement - le vingt-cinquième anniversaire de la convention des droits de l'enfant.
Tout récemment, l'UNICEF a publié son rapport, toujours affligeant, sur la situation des enfants dans le monde.
La présentation de ce rapport peut être lue ici. Le rapport insiste, cette année, sur les enfants vivant en zone de conflits et frappés par les épidémies comme le virus Ebola.
Ce n'est pas anodin que le prix Nobel de la Paix ait été décerné, cette année, à Malala, jeune Pakistanaise, victime d'un attentat chez elle, qui mène un combat périlleux et tellement évident pour l'accès des filles à l'éducation. Article du "Monde" à lire ici.
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